Salut mes petits agricultos !
Une semaine que je dors dans ma salle de bain comme Roméo, et je peux enfin vous donner la conclusion de cette expérience : ça fait mal au dos. Franchement, dormez plutôt dans une chambre normale. Heureusement, j’ai mis ma télé dans la baignoire et je peux donc vous écrire ce nouveau récap de L’Amour est dans le pré, la seule émission où chaque candidat possède au moins 12 chiens. La semaine dernière, c’était un peu mou, c’est vrai, mais aujourd’hui on repart à nouveau sur du lourd (et même du très très lourd quand on écoute Julien parler). On va voir des couples en vacances, des couples qui mangent des feuilletés-saucisse, et des couples au bord de la rupture. C’est pas beau ça ? Allez, que la jibulade commence.
Il était temps que Charles voyage un peu
Charles : « La Finlande moi je pensais que c’était des Inuits qui se déplaçaient en drakkar et des pingouins »
Honnêtement ça a l’air trop cool de vivre dans la tête de Charles. Si ça se trouve, il pense qu’en Egypte on croise des momies à dos de chameaux et qu’en Allemagne les gens portent des chaussettes hautes et mangent tout le temps de la choucroute… bon ok ils mangent tout le temps de la choucroute mais vous avez compris.
Merci Charles pour cette découverte
Charles : *Pénètre dans l’eau froide*
Charles toujours : « Ah ça refroidit »
Franchement, y’avait pas besoin d’aller jusqu’en Finlande pour faire cette expérience. De l’eau froide, on en a aussi en France hein.
Thibaut a le sens de la mesure
Thibaut : « N’ayant pas la possibilité de recevoir chez moi, j’ai réservé un gîte pour 200 personnes »
Au moins ils ne manqueront pas de lits.
Thibaut s'est pris un petit cours d'écologie dans la tronche
Le gars voulait passer un repas tranquille en amoureux, mais il a eu le malheur d’acheter une salade industrielle. QUELLE ERREUR. Résultat, Julien lui a fait tout un laïus sur l’agriculture française et l’importance d’acheter des produits du pays. Ok il a pas tort, mais c’était p’tet pas le moment de l’humilier en public non plus.
Tiens, des revenants !
On avait totalement oublié Christine et Alain, mais ils sont toujours là.
Enfin, vu comment Alain tient à peine sur ses jambes, on sait pas s’il va être encore là pour longtemps.
Et c'est un vent de force 12 ici
Alain : « Tu veux prendre mon bras ? »
Christine : « Ah nooon non merci »
Ouch. Et deux secondes après, Christine lui dit qu’il a du bide. On pense fort à toi Alain, ça a pas l’air facile.
Ça souffle encore très fort
Alain : « Merci pour ton sourire pour tes yeux bleus »
Christine : « Voilà »
Le romantisme selon Jeau-Paul
Jean-Paul : *Offre un sac à Maria*
Jean-Paul juste après : « Boh elle sera contente avec son sac »
Il était pas loin de rajouter « elle sera contente la pépette et pis elle arrêtera d’faire chier comme ça ». Ah c’est beau l’amour.
Ne jamais sous-estimer le Soleil
JP : « Ça va, le soleil tape pas trop »
JP 5 minutes plus tard :
WOW
Le GPS : *Fait son boulot de GPS*
Justine : « TA GUEULE »
Ben voilà, on comprend que Patrice ne soit plus très chaud d’être avec Justine du coup. Et on comprend qu’il lui foute des VENTS MÉMORABLES :
NON JULIEN
NON, on ne parle pas de « demi-molle » la première fois qu’on rencontre sa belle-mère. Et NON, on ne dit pas non plus qu’on a bandé pendant 3 heures dans le jacuzzi.
Bon après ça a l’air de passer, mais nous on l’aurait pas fait quoi.
C'est plus un vent là, c'est la tempête
Alain : *fait une déclaration d’amour*
Christine : « D’accord. Santé. Et à mes chiens. »
Heureusement, Christine a mis un terme à cet énorme malaise en foutant un gentil râteau à Alain. Il était temps.
Grosse ambiance chez Carine et Joris
Ils sont mignons, mais qu’est-ce qu’on se fait chier.
Bravo Patrice !!! On est avec toi !!
Patrice a pris son courage à deux mains et a décidé d’expliquer à Justine qu’il se posait des questions sur leur avenir. ENFIN. CHAMPION. Et notre Patrice a tenu bon malgré une Justine qui ne lui a franchement pas facilité la tâche en lui parlant un peu mal. Franchement, faut que cette histoire se finisse parce qu’on n’aime pas le voir aussi triste le Patoche.
On dirait que quelqu’un va bientôt devoir faire un nouveau déménagement.