Top 10 des trucs que la Gen Z a arrêté de faire, et ils ont bien raison

Repasser leurs fringues

Bravo la Gen Z, vous avez compris qu’on pouvait très bien aller travailler ou voir ses potes en ayant un t-shirt froissé sur le dos. Bon, attention quand même, parce que parfois certains d’entre vous ressemblent à des feuilles de papier crépon, mais c’est globalement une bonne chose que vous ayez réussi à vous libérer de ce poids.

Se forcer à s'épiler

Non, tous les Gen Z ne se laissent pas pousser les aisselles ou le pubis, mais disons que si ils/elles n’en ont pas envie, ils/elles ne se font plus chier à le faire. Les seuls que ça emmerde, c’est les boomers qui pleurent dans des posts Facebook parce que des meufs de l’âge de leur petite-fille ne sont « plus désirables » à leurs yeux. Ben en même temps, arrêtez de vouloir désirer des meufs bien trop jeunes pour vous bande de gros dégueu.

Faire des gosses

Depuis des siècles, on nous incite à faire des gosses parce que « c’est ce qu’il faut faire », parce que « ça nous ferait plaisir à papa et moi », mais surtout parce que c’est ce qui fait vivre l’économie (oui, c’était ça la vraie raison). La Gen Z a percé ce secret à jour et arrête désormais de donner naissance à des pauvres gosses qui vont vivre dans une société qui s’effondre. En plus les bébés c’est cher, c’est bruyant, et ça fouette.

Faire des heures supp et passer sa vie au taf pour se faire bien voir

Alors qu’on était tous là comme des cons à bosser davantage pour faire plaisir à notre boss (qui est à peu près aussi reconnaissant qu’un chat dont on vient de remplir la gamelle), la Gen Z a compris que tout ça ne servait à rien. Les gars ont décidé de ne plus faire davantage que ce qui était inscrit dans leur contrat. Ils ont même trouvé un nom pour ça : le « quiet quitting ». Et vous savez quoi ? Ils sont pas plus malheureux que nous. Pas beaucoup plus heureux non plus, vu que le monde du travail est relativement pourri, mais au moins ils ont plus de temps pour eux.

Se marier

C’est pas tant qu’ils détestent le mariage en tant qu’institution (même si c’est le cas pour certains), mais ils ont surtout capté qu’un mariage coûtait beaucoup trop cher. S’endetter de plusieurs milliers d’euros pour une grosse teuf alors qu’ils n’ont pas un rond et que cet argent serait plus utile dans un appart’, ça ressemble plus à une arnaque qu’à autre chose. En plus, si cette économie peut éviter de voir tonton « tomber la chemise » sur la piste de danse, c’est une très bonne chose.

Porter des fringues trop serrées

Dire qu’on s’est fait chier pendant des années à arrêter de respirer pour rentrer dans des jeans slims alors qu’on aurait pu porter des baggies comme la Gen Z. Bordel ce que ça fait du bien de pouvoir monter des marches sans flipper d’avoir le froc qui craque.

Boire comme des trous

Des génies, les Z. Ils ont capté que se mettre des grosses murges 3 fois par semaine pour se taper des grosses gueules de bois le lendemain n’avait aucun intérêt. On aurait dû y penser avant eux, mais on était trop occupés à se mettre des grosses murges 3 fois par semaine pour se taper des grosses gueules de bois le lendemain. Comme quoi ça se joue à pas grand-chose.

Croire en Dieu

Bon, le truc reculait déjà de génération en génération, mais ça s’est encore accentué avec la Gen Z. Et c’est plutôt compréhensible : qui veut adhérer à un groupe basé sur un vieux bouquin sans aucune preuve et dirigé par des vieux autoritaires ? Y’a peut-être des clubs plus sympa à rejoindre, comme un club de bridge ou de couture.

(Bon ils ont remplacé ça par l’astrologie, est-ce que c’est vraiment mieux ? A vous de juger)

Envisager une "carrière"

Allez-y, demandez à un Gen Z quelle carrière il envisage de réaliser, et il aura l’impression d’avoir poussé les portes de Jurassic Park et d’avoir rencontré un dinosaure pour de vrai. Un voyage dans le temps qui le fera frissonner d’angoisse.

Faire croire au Père Noël à leurs enfants

En même temps, ce gros mytho qui sert souvent de menace pour que les enfants soient sages a assez duré. Et ne venez pas nous parler de magie : la plupart des gosses chialent quand ils se retrouvent face à un vieux en costume de Père Noël. De toute façon, on a trouvé plein de remplaçants du Père Noël beaucoup plus convaincants.