Se reconvertir, c'est pas la chose la plus simple du monde. Pour donner une image, ce serait un peu comme sauter à l'élastique, mais sans être sûr d'être attaché à un élastique. Parce que oui, mine de rien, quand on se reconvertit, on quitte une situation qu'on connaît pour faire un grand saut dans l'inconnu, et c'est un peu flippant. Heureusement, quand on sait comment faire et vers qui se tourner pour changer de vie, c'est tout de suite beaucoup moins l'angoisse. On te donne quelques trucs à savoir pour te reconvertir bien comme il faut. Et si tu es intéressé, IGS Insertion Inclusion propose plusieurs formations accessibles dès le niveau CAP/BEP et en reconversion pour adulte. Tu peux trouver toutes les infos sur leur site.
Trouve un métier qui te plait vraiment
Ça paraît évident à dire, mais si tu te reconvertis, c’est pas pour te retrouver à nouveau dans une situation qui ne te convient pas, à traîner des pieds pour aller au taf. Du coup, le mieux à faire, c’est de bien te renseigner sur la voie que tu vas emprunter. Pour ça, n’hésite pas à contacter des gens qui font ce métier ou te renseigner auprès de tes proches qui s’y connaissent peut-être. Généralement, les gens aiment parler de leur job, donc on devrait te répondre avec plaisir.
Il existe plein de formations
Te reconvertir, ça veut pas dire que tu vas t’enfoncer en pleine jungle, de nuit, sans lampe de poche. Non, on va t’aider. Les formations pour te reconvertir sont nombreuses, et elles mènent pour la plupart à de vrais métiers avec de vraies embauches (c’est pas beau ça ?)
Il y a des formations pour tous les âges
Tu pensais être trop vieille ou trop vieux pour changer de voie ? Eh ben non, tu ne l’es pas : beaucoup de formations sont ouvertes aux adultes et même aux seniors. En plus, la jeunesse, c’est dans la tête, on le sait tous.
Tu peux faire une formation très courte
Quand on se reconvertit, on peut avoir l’impression que ça va prendre beaucoup de temps et qu’on ne pourra pas avoir de nouveau boulot avant 1 ou 2 ans, mais la réalité est un peu plus chouette. Il existe des formations de moins de 9 mois, 6 mois, et même 3 semaines à peine pour entamer une nouvelle carrière et développer de nouvelles compétences. On a aussi entendu parler d’une formation de 2 jours pour devenir chirurgien-neurologue, mais ça n’avait pas l’air très sérieux.
Pendant ta formation, tu peux avoir un statut d'étudiant ou d'alternant
Ce qui, tu en conviendras, est un peu plus rassurant qu’un statut de « sans emploi », et qui te permettra d’obtenir tout un tas d’aides et d’avantages, genre un accès à des réductions dans divers endroits comme les transports, les restaurants universitaires, etc. Plutôt pratique.
Tu peux être rémunéré pendant ta formation
Dans certaines formations, tu peux avoir le statut d’alternant, être en contrat pro ou en apprentissage, et donc travailler en entreprise plusieurs jours dans la semaine, ou une semaine sur deux. Ou deux semaines sur trois. Ça dépend quoi.
Mais il n’y a pas que ça (eh oui, c’est la fête) : il existe aussi la POE, ou préparation opérationnelle à l’emploi individuelle, qui est un contrat avec lequel ton futur employeur te paie pour effectuer une formation avant d’intégrer sa boîte. Comme ça, lui, il est content parce que tu arriveras bien formé, et toi, tu es content.e parce que ta formation est payée. C’est tout bénef’ pour tout le monde. Et grâce à Pôle emploi et la Région Ile-de-France, tu es rémunéré et ta formation est gratuite !
Fais un bilan de compétences
Un bilan de compétences, c’est plusieurs séances avec un professionnel qui t’aide à faire le point sur ton expérience. Pourquoi ? Pour définir ce que tu sais déjà faire, et ce que tu pourrais faire comme formation pour acquérir de nouvelles compétences qui t’aideraient à atteindre le job de tes rêves. En gros, grâce au bilan de compétences, t’as un point de vue plus concret sur ce que tu dois faire pour bien te reconvertir.
Renseigne-toi sur le Compte Personnel de Formation
En France, on a le Compte Personnel de Formation (CPF) qui est un peu comme le super héros discret de ta vie professionnelle. Il accumule des heures de formation pendant que tu travailles et te les met de côté pour quand t’en auras besoin. Alors avant de sauter dans le grand bain de la reconversion, jette un œil à ton CPF et aux formations auxquelles il te donne accès. T’auras rien à payer, donc faut en profiter.
Pense à l'accompagnement à la création d'entreprise
Si ton projet de reconversion implique de devenir ton propre patron, il existe des structures d’accompagnement à la création d’entreprise. Elles peuvent t’aider à structurer ton projet, à le financer et à le concrétiser. Oui oui, tu as bien lu : à le financer. On peut te filer de la thune pour que tu montes ta boîte. Le pied.
Ne te décourage pas
La reconversion, c’est quand même du sérieux, et ça pourrait sembler trop impressionnant quand on commence à réellement l’envisager. C’est à ce moment que beaucoup renoncent, de peur de se lancer dans l’inconnu. Eh ben nous on te dit de ne pas te décourager face à ce changement : le plus dur, c’est de se lancer.
De nos jours, il est rare de faire toute sa carrière au même endroit. Désormais, l’objectif est de trouver une formation pour le métier dans lequel tu va réussir à t’épanouir mais surtout susceptible de t’assurer un emploi. Si tu te poses encore quelques questions avant de sauter le pas, n'hésite pas à contacter IGS Insertion & Inclusion. Ils te proposent des formations dès le niveau CAP/BEP, en alternance, en formation en continu ou via des dispositifs d’insertion, dans 8 filières métiers différentes, et pourront surement te conseiller !