C'est samedi, autorisons nous un petit sujet "sesque". Entre deux textes tout à fait "normaux", de nombreux écrivains ou poètes se sont amusés à la littérature érotique. Et forcément, quand c'est Aragon, Apollinaire ou Baudelaire qui s'y collent, le résultat est plutôt correct. Voici donc quelques-unes des plus belles odes au sexe féminin offertes par la littérature.
- Pierre Ronsard, Les poètes l’ont si bien dit
Hého ! "Trou velu, trou velu"... parle pour toi Pierrot. - Louis Aragon, Le con d'Irène
Qui a effectivement l'air très très classe. - Guillaume Apollinaire, Con large comme un estuaire
Comme ça, ça ne vend pas du rêve, mais on est sûr que c'était gentil à la base. - Voltaire, Polissonnerie
Et oui, même Voltaire il aimait la gaudriole. - Pablo Neruda, L'Insecte
Rose/rosée, Pablo ne s'est pas foulé pour la dernière rime, mais on ne lui en veut pas parce que c'est pas mal quand même. - Michel Butor, Ballade du sexe féminin
Pas grand-chose à ajouter, si ce n'est que c'est très très beau. - Charles Baudelaire, Les promesses d'un visage
Et ce n'est là qu'un court extrait de la très fournie bibliographie érotique de notre ami Baudelaire. - Alfred de Musset, Les Filles de Loth
Oui, vous avez bien compris ce sont deux sœurs qui font crac-crac. Et oui, c'est sale. Bien écrit, mais sale. - Pierre Louÿs, Vulve blonde
Au moins le titre a le mérite d'annoncer la couleur. - Joseph-Albert-Alexandre Glatigny, Invitation à la minette
Vous avez remarqué comme "con" rend quand même beaucoup mieux que "grosse chatte" ?
De quoi sérieusement hisser le niveau de vos prochains sextos.