Le meilleur jeu de l’histoire de la Game Boy et de la Game Boy Color, c’est sans conteste Pokémon version Rouge, Bleue et Jaune. Ok ils avaient sorti 3 cartouches différentes alors que c’était quasiment le même jeu dedans, mais qu’importe, nous on aimait et on a gardé un tas de souvenirs qu’on vous délivre présentement. Mais avant ça… TORTANK ATTAQUE HYDROCANON. C’était pour voir si vous étiez prêts.
Quand tu choisissais ton Pokémon de départ
Le choix entre Salamèche, Bulbizarre et Carapuce c’était le plus gros dilemme de notre enfance, mais ceux qui avaient la version Jaune en étaient libérés puisqu’ils devaient obligatoirement commencer avec Pikachu (la chance).
Ton rival à qui tu pouvais donner un nom pourri
Normalement c’était Régis mais on l’a tous appelé « Puduk » ou « Gros con » parce qu’on était espiègles.
Tes premiers pas dans les herbes hautes où tu flippais de tomber sur un pokemon sauvage trop puissant
Au final tu tombais surtout sur des petites merdes type Chenipan ou Roucool mais valait mieux ça que de te faire éclater dès le premier combat.
Quand ton équipe se faisait mettre K.O. dans un combat
T’avais du mal à t’en remettre, mais comme t’étais un vrai dresseur tu repartais vite à l’assaut.
Le jour où t'as choppé ta bicyclette
Elle valait 1 000 000 de pokéthunes en magasin (ce qui t’a fait halluciner) mais il suffisait de choper un Bon de Commande que te filait le directeur du Fan Club des Pokémon. Après ça, tu pouvais enfin avancer à toute vitesse sur une musique des plus stylées.
Quand on te filait la CS vol et que tu pouvais enfin arrêter de marcher
Ton Pokémon de type vol préféré te transportait partout et devenait ton nouveau meilleur ami pour la vie.
Quand tu affrontais un champion de l'arène
La pression était présente, surtout quand tu te pointais face à Pierre et ses pokémons de type roche en début de partie alors que t’avais un Pikachu ou un Salamèche qui ne faisaient pas le poids.
Quand un de tes pokémons évoluait et que tu ressentais des frissons de bonheur
Cette animation c’était un shot de bonheur dans ta tronche.
Quand tu ne comprenais pas pourquoi ton Pikachu n'évoluait pas alors qu'il était niveau 57
Jusqu’à ce qu’un de tes potes t’explique qu’il fallait une Pierre foudre pour le faire évoluer en Raichu.
Quand t'étais déçu de tomber sur des Magicarpe tout pourris
Par contre entraîner un Magicarpe, même si ça demandait pas mal de patience, ça permettait d’avoir un Léviator surpuissant, et ça c’était classe.
Quand il fallait se taper des combats trop relou contre un PNJ qui avait 6 taupiqueurs
Ce gros naze n’était même pas capable de se faire une vraie team de pokémons avec des capacités complémentaires.
Quand il ne te restait plus qu'un pokémon avec 2pv et que tu faisais tout pour éviter les combats avant de trouver un Centre Pokémon
T’esquivais les herbes hautes et les PNJ de peur qu’on te défonce en une seule attaque.
Quand t'avais pas réussi à esquiver les pokémons sauvages et que tu fuyais le combat comme un lâche
La survie avant tout, t’inquiète on te juge pas.
Quand t'as passé beaucoup trop de temps au Casino
Un faux casino qui rendait aussi accro qu’un vrai.
Quand tu galérais pendant trois heures pour trouver ton chemin dans le repaire de la Team Rocket
Avec les flèches qui t’envoyaient dans une direction où tu voulais pas aller là.
Quand tu découvrais le Safari et que t'étais tout excité
Dans le Safari, les règles n’étaient plus les mêmes et il y avait des pokémons trop stylés à capturer, genre des Tauros, des Kangourex et des Minidraco (pour ensuite avoir un Dracolosse bien cool).
Quand tu choppais Mewtwo
Valait mieux pas avoir gâché ta Master Ball en la lançant sans faire exprès sur un pauvre Piafabec parce que sans elle c’était très chaud de capturer le pokémon le plus puissant tu jeu.
Quand tu battais la Ligue Pokémon
Et surprise, ton rival était devenu Maître de la Ligue donc tu lui lattais la gueule une fois de plus pour bien lui rappeler qui c’est qu’était le meilleur.
Toutes les musiques que t'oublieras jamais
À commencer par celle de Celadopole qui nous donne envie de devenir les meilleurs dresseurs, de nous battre sans répit, de tout faire pour être vainqueur et gagner les défis.
Quand t'avais cru à cette légende urbaine qui disait qu'on pouvait choper un Mew en déplaçant ce camion
Jamais une légende urbaine ne s’était aussi bien répandue dans les cours de récré, c’est ouf.
Quand tu prenais conscience de l'oppression que subissaient les pokémons à cause de dresseurs comme toi
Non, on déconne, personne n’avait ce genre d’états d’âmes.
Et vous c’est quoi votre souvenir préféré de Pokemon sur Game Boy ?