Il est enfin né, le divin enfant. Ça y est. Et vous ne pouvez qu’être émerveillé devant votre chef-d’oeuvre (tout est relatif mais on ne vous le dira jamais bien sûr). D’ailleurs, voici les multiples réflexions qui vous traversent l’esprit pendant cet instant merveilleux où, pour la première fois, vous faites connaissance avec votre progéniture…
"C’est moi qui ai fait ça. C’est moi qui ai fait ça. C’est moi qui ai fait ça."
"Donc en fait l’idée, c’est qu’il était dans mon ventre, avant."
"Si quelqu’un touche un seul de tes cheveux, je le frappe avec la biographie de Jeanne Calment."
"Comment j’ai pu passer tout ce temps sans le/la connaître ?"
"Pour le scooter, c’est niet."
"Comment on peut faire du mal à des enfants ?"
"Ça fait combien d’heures que je n’ai pas dormi ?"
"J’ai le temps avant qu’il/elle se réveille ?"
"Il est encore plus beau que sur les photos d’écho."
"Est-ce qu’on va y arriver, seuls ?"
"Je ne peux pas croire qu’un jour il fera du 44."
"Je ne peux pas croire qu’un jour elle portera un bébé."
"Quelle tête il aura, plus tard ?"
"Ce nez, c’est tout moi"
"Cette bouche, c’est tout son papa."
"Ce bébé c’est tout nous, en mieux."
L’émerveillement est présent. Omniprésent. Y a plus qu’à attendre l’adolescence avec appréhension.
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