Les vêtements c’est nul. Ça pollue. C’est souvent moche et parfois ça fait des bouloches. Mais plus grave que tout, les vêtements peuvent aussi causer la mort. Vous ne regarderez plus jamais votre slibard de la même façon…

Le peignoir qui prend feu

A 81 ans, Evelyn Rogoff ne se doute pas que sa vie va être chamboulée un matin alors que tout se passait comme tous les matins. Enfouie dans son peignoir de bain, notre bonne Evelyn s’approchait du four afin de se faire un thé. La ceinture du peignoir n’était pas de cet avis. Fait d’une matière particulièrement inflammable, le peignoir Evelyn prit feu, du coup fatalement Evelyn aussi, jusqu’à ce que son époux vienne à sa rescousse et prenne lui aussi feu avec son peignoir également inflammable. Le couple a survécu malgré de graves blessures qui les empêchent aujourd’hui de péter le feu. LOL.

Butée par sa brassière

Bon OK, il faut dire que la femme en question portait un flingue dans sa brassière, ce qui n’était pas le truc le plus malin qu’elle ait fait dans sa vie, je vous le concède. En l’occurrence la brassière était spécialement conçue pour y cacher un flingue (ouais je sais ça surprend), donc à ce niveau-là on peut dire que la brassière a mal fait son taf puisqu’elle s’est retrouvée avec une balle entre les deux yeux. Non, c’est pas marrant.

Le danger à portée de talons aiguilles

En 2012, une jeune femme est retrouvée morte au pied d’un escalier à Manhattan, le visage tellement ensanglanté que la police crut à première vue qu’elle avait été violemment agressée à coup de couteau. Mais en fait pas du tout. L’autopsie révèle que la jeune femme s’était juste cassé la figure (littéralement) avec ses talons hauts. Allez, les baskets c’est bien sinon.

Écrasés par une montagne de vêtements

Bah oui mais ça pèse lourd ces conneries quand il y en a beaucoup à la longue. Dans ce cas précis, une famille a péri écrasée par son plafond qui aurait cédé sous le poids d’une trop grosse quantité de vêtements. Bon, la source ne précise pas à quel point le plafond était vétuste…

La crinoline incandescente

C’est vrai que les crinolines on en porte pas tous les quatre matins de nos jours. C’est pas ultra raccord avec notre street cred’. En revanche au XIXème où ça crinolait de partout et quelques malheureuses ont pu en faire les frais. On compte ainsi 3000 décès dus à l’inflammation de ces vêtements de l’enfer.

Etouffé par des fringues

Si le nom du législateur athénien Dracon ne vous dit pas grand chose, l’adjectif « draconien » vous parlera sûrement plus. Et pour cause, le gars était connu en Grèce antique pour imposer la peine de mort à tout bout de champ. Résultat, les fringues lui ont fait payer. Lors d’une cérémonie pour laquelle il devait être honoré, une foule a commencé à lui jeter des chapeaux, des capes, et toute sorte de vêtements pour lui manifester sa gratitude. Le gars ça l’a tué.

La robe de mariée par noyade

Ah la bonne idée que de vouloir faire des photos originales avec sa robe de mariée en se jetant dans la flotte avec. Sauf que les robes de mariée ne sont pas ultra pratiques pour se taper une brasse. C’est ce qu’a dû vite comprendre Maria Pantzapolous en décédant à travers cette malheureuse expérience… l’idée a fait plouf quoi. Enfin j’veux dire, c’est tombé à l’eau. Enfin, vous avez pigé quoi.

Ce contenu n'existe plus

Il n'a pas souffert, promis

La chemise de nuit chauffante

La prochaine fois que vous prenez deux sédatifs et que vous allumez une cigarette, pensez à ne pas porter des vêtements ultra inflammables comme une chemise de nuit. C’est ainsi que Mary Reeser trouva la mort littéralement calcinée par cette mauvaise idée.

Le corset un poil écrasant

On connait en effet de nombreux cas d’évanouissements dus au port du corset dans l’histoire, cette saloperie qui comprimait tellement les organes des femmes que ça pouvait effectivement finir par les tuer.

Etranglée par son écharpe

Un classique. C’est par pour rien que nos mamans nous déconseillent vivement de ne pas dormir avec une écharpe autour du cou même s’il fait très froid. En l’occurrence, la célèbre chorégraphe Isadora Duncan ne dormait pas avec son écharpe mais la laissait au vent au cours d’un trajet en voiture. L’écharpe, assez frivole, est allée fricoter avec la roue. Et pouf. Isadora kaput.

Ce contenu n'existe plus

Il n'a pas souffert, promis

Maintenant, toi aussi tu sais, les fringues nous veulent du mal.

Sources :

Listverse

Wikipédia